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Silicium G5 en Litre.
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Le Silicium organique est le résultat de nombreux travaux effectués par des chercheurs et médecins cliniciens sur une période de plusieurs années (1957-1994). A l'origine. les travaux portèrent sur la pellicule de Silice amorphe, soluble dans l'eau. se trouvant à la surface de certains cristaux de quartz.
Longtemps considérés comme un simple élément trace, le silicium est en réalité l'un des macro-éléments secondaires présent à plus de sept grammes dans le corps humain en bonne santé et de fait, l'un des principaux acteurs des mécanismes vitaux.
Pendant treize années (1985-1995), les chercheurs accumulèrent les preuves de leur incroyable efficacité.
C'est en 1970 qu'un chercheur Français, Norbert Duffaut, mettra au point la première molécule pouvant répondre à l'appellation de Silicium Organique.
Après des années d'essais en clientèle privée, Norbert Duffaut sera rejoint par un autre chercheur Français, Docteur en Sédimentologie, Loïc Le Ribault. Ensemble, il mettront au point la molécule G4.
Après la mort de Norbert Duffaut, Loïc Le Ribault élaborera la molécule de 5ème génération G5.
Le silicium est l’un des 100 éléments qui sont essentiels à la vie et l’environnement. Environ 26% de la croûte terrestre est composée de silicium, ce qui en fait le 2e élément le plus abondant sur notre planète après l’oxygène.
Dans la nature, on trouve le silicium associé aux molécules d’oxygène pour former des « silicates ». Le sol et les roches sont des silicates naturels qui rejettent d’eux-mêmes de petites quantités de silicate soluble, ou « acide silicique », dans les rivières, les lacs et les cours d’eau.
Le silicium organique et l’acide silicique font partie de la famille des « silanols ». L’acide silicique, dépourvu de carbone, diffère du silicium organique.
Dans le cas du silicium organique, le groupe hydroxyde est remplacé par un groupe méthyle, ce qui confère à la molécule des propriétés particulières très bénéfiques pour la peau et les phanères.
Silicium, minéral, colloïdal ou organique ?
Deux types de silicium existent dans la nature : le silicium minéral et le silicium organique.
Le silicium minéral est le principal constituant de l’écorce terrestre (27,80% en poids) après l’oxygène(46,60%). On le trouve sous forme amorphe ou cristalline dans de nombreuses roches telles que les granites, les sables, les argiles, etc.
Dans sa forme la plus simple, il est composé d’un atome de silicium et de deux atomes d’oxygène (Si02).
Le silicium organique (organo-silicié dans la famille duquel on trouve les silanols, silane-diols et silane-triols ) se différencie du précédent par la présence d’un (ou de plusieurs) atome(s) de carbone associé(s) à de l’hydrogène. Sous cette forme, c’est un des éléments essentiels de la matière vivante, comme le prouvent les dosages effectués aussi bien chez les plantes et les animaux que chez l’homme. Dans le corps de ce dernier, on en trouve notamment une quantité importante dans les tissus conjonctifs, les cartilages, le thymus, les parois vasculaires, les surrénales, le foie, la rate, le pancréas, etc.
Le capital Silicium Organique
L’être humain naît avec un « capital » de silicium organique qui va jouer un rôle fondamental dans la constitution, l’équilibre et la défense de son organisme.
Mais ce « capital » diminue inexorablement avec le vieillissement : on considère que l’homme perd graduellement 80% de celui-ci entre la maturité sexuelle et la fin de sa vie, ce qui provoque l’affaiblissement de son système immunitaire et la dégénérescence de ses cellules.
Ce phénomène est irréversible, car l’être humain est incapable de transformer le silicium minéral qu’il ingère (aliments, boissons) en silicium organique, et le silicium minéral (sous quelque forme qu’il soit, y compris la silice colloïdale, que l’on retrouve dans la prêle, l’ortie …) n’est pas ou très difficilement assimilable ; il peut même être toxique à haute dose.
Jusqu’alors, il n’existait donc aucune possibilité de recharger l’organisme en silicium organique.
Après utilisation par plusieurs centaines de milliers de personnes, on peut aujourd’hui résumer comme suit les principales caractéristiques du G5 , selon les témoignages des consommateurs et de nombreux médecins ou pharmaciens et autres professionnels de santé.
Comment une molécule unique peut-elle avoir un champ d'action aussi large ?
Il est impossible de donner une réponse précise. On ne peut qu’émettre une hypothèse, compte tenu du fait que des études scientifiques prouvent que tout désordre de l’organisme provient au moins en partie d’un déséquilibre électrique cellulaire : on sait qu’une cellule en bon état est électriquement parfaitement équilibrée, avec son pôle négatif exactement aligné avec son pôle positif. Par contre, une cellule déficiente (suite à une agression, à une maladie, à la vieillesse, etc.) présente des pôles déséquilibrés, qui ne sont donc plus alignés.
Or le G5 est chargé à l’extrême en ions positifs et négatifs instables, qui ne cessent de « tourner » autour de chacune de ses molécules.
Le G5 pourrait donc intervenir dans l’organisme pour rétablir la polarité des cellules déficientes, libérant (ou échangeant) selon les cas des ions positifs ou négatifs. Il serait en quelque sorte un rééquilibrant ionique de l’ensemble de l’organisme, dont l’action donnerait ou contribuerait à donner aux cellules de celui-ci l’énergie nécessaire pour lutter contre tous les types d’agressions dont il est victime.
C’est sans doute ce qui explique la sensation de chaleur, ou de froid, ou de picotements électriques, que certains utilisateurs ressentent circuler dans leur corps, parfois quelques minutes seulement après absorption ou application de G5.
C’est, en tout cas, la seule explication possible en l’état actuel des connaissances.
Le G5 n’est donc pas un médicament au sens médical, pharmaceutique et juridique du terme, mais un « complément alimentaire » renforçateur des défenses naturelles de l’organisme. C’est ce qui expliquerait les résultats obtenus grâce à lui par nombre de médecins dans le traitement des affections les plus variées.
Ce que l’on sait cependant c’est que le silicium stimule la génération du collagène que l’on retrouve dans l’ensemble des tissus de l’organisme, peau, ongles, cheveux, cartilages, os …
Cure d’entretien et de prévention :
3 fois 10 ml par jour, 10 mn avant les repas ou 2 h après (estomac vide).
2 fois 2 à 3 mois par an, ou 1 à 6 mois selon besoins et effets ressentis.
Utilisation en continu possible et sans toxicité ni effets secondaires. Le garder deux minutes en bouche avant de l’avaler. Se boit pur.
Cure intensive :
3 fois 30 ml par jour (soit 3 bouchons doseurs pleins). Pendant 1 à 6 mois ou plus selon besoins.
L’on peut commencer par 3 fois 10 ml par jour et si, au bout d’une semaine, les effets ne se font pas sentir, il convient de passer à 2 fois 20 ml et, éventuellement, une semaine plus tard, à 3 fois 30 ml : il est fréquent que l’organisme ait besoin de se recharger en silicium pendant une semaine, un mois ou 6 mois voire plus, selon l’état général, pour obtenir des résultats sensibles au regard de telle ou telle difficulté.
Le jour où l’on commence à oublier de prendre ses doses journalières, le corps montrant ainsi qu’il a moins besoin de silicium, l’on peut alors revenir aux doses de base de 10 ml 3 fois par jour, voire 2.
3 fois 10 ml par jour correspondent à 1 litre par mois.
3 fois 30 ml par jour correspondent à 3 litres par mois (tous les 33 jours exactement).
Un lot de 4 litres correspondra ainsi soit à 4 mois de cure soit à 1,5 mois.
Utilisation du gel :
En applications locales deux à six fois par jour selon besoins, seul ou en même temps que la cure de liquide.
Eau
Mono-methylsilane-triol
Conditionnement | 1000 ml |
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