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8 raisons pour se mettre à méditer

8 raisons pour se mettre à méditer
La méditation est avant tout une prise de contact avec soi-même : il s’agit de se sonder et de mieux se connaître. Faire le bilan de sa journée lorsqu’on médite aide à atteindre un état d’apaisement.

1. Le soir, en position allongée et les yeux fermés, répertoriez 3 évènements positifs dans votre journée. C’est une première approche de la méditation puisqu’elle consiste à chasser les pensées stressantes ou nuisibles. Se focaliser sur le positif permet de mettre au second plan ce qui est pour nous une source de contrariété et de mieux l’affronter.

2. La méditation a vu ses effets prouvés sur le stress et l’anxiété. En méditant, on apprend à « se poser ». Pendant quelques minutes, on chasse de son esprit ce qu’on est au quotidien au sein de la société : une femme, un père de famille ou un salarié, un étudiant, pour atteindre l’essence même de ce qu’on est. Ce sont ces facteurs externes qui sont source de stress et d’anxiété. Renouer avec soi-même permet de se détendre réellement en prenant une vraie distance avec l’extérieur, ce qui éloigne les facteurs anxiogènes.

3. Souvent, l’insomnie est liée au fait de « trop penser ». Nous avons tendance à ressasser un certain nombre de pensées négatives tout au long de la journée. Au moment du coucher, lorsque nous n’avons plus rien d’autre à faire que laisser notre esprit aller, les pensées nuisibles et superflues prennent plus de place : il devient alors difficile de s’endormir. Méditer permet de faire une pause avec ces pensées en maintenant son attention sur autre chose (un paysage agréable, un son, etc...) pour se détendre réellement et ainsi, s’endormir plus facilement.

4. Pour beaucoup d’entre nous le quotidien est agité : vie de famille, travail, problèmes financiers, études… des domaines où l’être humain est sans arrêt en quête de reconnaissance. C’est notre perception des évènements qui nous permet d’être heureux ou de ne pas l’être. Si être heureux ne dépend pas de ce qu’on nous donne, mais de notre vision du bonheur, pour certains, être heureux est donc plus facile que pour d’autres. La quête du bonheur doit passer par un travail sur soi-même et sur une réelle relativisation du quotidien afin de prendre la vie avec du recul : la méditation y contribue.  

5. La méditation permet de travailler à la base du stress et de l’anxiété et de les apaiser. On sait que le stress peut rendre malade. Bien que le stress cause rarement seul une maladie, il aggrave les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires, du cancer, de l’hypertension ainsi que de troubles mentaux comme ceux de l’alimentation, la dépression, les phobies, les crises de paniques, etc…

6. La méditation aiderait le cerveau à mieux « s’organiser » pour lutter contre la douleur. Les adeptes de la méditation feraient face à une douleur tout aussi intense que les non pratiquants, mais le travail qu’ils opèrent sur leurs émotions leur permettrait de moins la ressentir. C’est pour cette raison que la méditation est vivement recommandée pour les personnes atteintes d’un cancer, pour les femmes souffrant de fibromyalgie ou pour les personnes âgées touchées par les douleurs chroniques.

7. Par le même processus que celui de neutralisation de la douleur, la méditation permet d’avoir une meilleure mémoire. Il s’agit d’un entraînement de l’esprit. Lorsque l’esprit est préoccupé par des pensées parasites ou simplement quand on se sent débordé, il est plus difficile de se concentrer et donc de retenir certaines choses à court et long terme.

8. La méditation est souvent perçue comme une activité difficile parce qu’elle nécessite de lâcher prise et de laisser ses pensées défiler, sans se laisser captiver. Penser est une qualité propre à l’Homme dont il est impossible de se défaire.
La méditation enseigne à s’éloigner de ses pensées en se focalisant sur une pensée neutre, comme un son, un objet, une image mentale ou la respiration. Certains adeptes de la méditation n’arrivent pas à se défaire de leurs pensées mais affirment qu’elles n’empêchent pas de méditer tant qu'on arrive à prendre une distance suffisante et à sentir qu'on lâche prise.

Dès l’instant où l’on s’assied ou se couche avec l’intention de méditer, tout ce qui se passe après est de la méditation. C’est encore une fois notre esprit qui décidera si c’était une «bonne» ou «mauvaise» méditation, et nous devons être vigilents de ne pas donner de jugement qualitatif. Si nous acceptons et accueillons sans jugement ce qui s’est passé pendant la méditation, tout naturellement, nous apprenons à LACHER PRISE.

inspiré de "passeportsanté"

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